Le Che a dit
Posté par vmozo4328 le 21 décembre 2009
Voilà ce qui disait ce personnage au visage angélique pour les uns mais terrifiant pour les autres :
La haine comme facteur de lutte, la haine intransigeante de l’ennemi qui pousse au-delà des limites de l’être humain et en fait une efficace, violente, sélective et froide machine à tuer… (Message à la Tricontinentale)
Les exécutions sont non seulement une nécessité pour le peuple de Cuba, mais un devoir imposé par ce peuple. (Lettre à Luis Paredes du 5 février 1959).
Nous avons fusillé. Nous continuerons à fusiller tant que cela sera nécessaire. Notre lutte est une lutte à mort. (Réponse aux questions sur la répression à Cuba. 11 décembre 1965, après son discours devant les Nations Unies.
Les travailleurs cubains doivent petit à petit s’habituer à un régime de collectivisme. En aucune manière les travailleurs n’ont le droit de faire grève. (Octobre 1961).
J’appartiens, de par ma formation idéologique, à ceux qui croient que la solution aux problèmes de ce monde est derrière ce qu’on appelle le « rideau de fer. «
J’ai juré, devant un portrait de notre vieux et regretté camarade Staline, que je n’aurais pas de repos avant de voir vu ces pieuvres capitalistes exterminées. (Lettre adressée à sa tante Beatriz en 1953).
Ces phrases en disent long sur le personnage. À vous lecteurs et lectrices de tirer vos propres conclusions.
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